La fable des abeilles
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Mandeville, Bernard de | La fable des abeilles, ou Les fripons devenus honnêtes gens .

350,00 € TTC

350,00 € HT

Prix Club : 262,50 € TTC

Mandeville, Bernard de | La fable des abeilles, ou Les fripons devenus honnêtes gens . | aux dépens de la Compagnie (Londres),1740,2 tomes en 1 vol. ; in-12 (10x16 cm), XXII, 333-267 p. ;,(12F2)

Pleine reliure veau marbré d'époque. Dos rond, long, orné de fers dorés. Pièce de titre et de tomaison. Triple filet d'encadrement doré sur les plats. Tranche rouge. Très bon état. Avec le commentaire où l'on prouve que les vices des particuliers tendent à l'avantage du public. Traduit de l'anglois sur la sixième édition. Première édition de la traduction Française. Célèbre utopie traduite par Jean Bertrand. La Fable des abeilles a exercé une influence considérable au XVIIIe siècle. L'oeuvre décrit avec cynisme les ressorts de la prospérité de l'Angleterre de l'Enlightenment. Mandeville y dénonce les fausses vertus que sont, par exemple, la modestie, la décence, l'honnêteté et le sens de la hiérarchie. Il tente de montrer comment la convoitise, l'orgueil et la vanité sont les ressorts de l'opulence. Il souligne, en somme, l'utilité économique des vices et montre, du même souffle, l'harmonie naturelle des intérêts.Mandeville fait sentir la bassesse de tous les ingrédients qui composent le véritable mélange d'une société bien réglée : une ruche d'abeilles était prospère, chaque classe était pleine de vices mais l'ensemble formait un paradis. Les abeilles demandèrent à Jupiter l'honnêteté qu'elles obtinrent : aussitôt la ruche, vaincue par ses ennemis, fut ruinée et Mandeville conclut que « la vertu seule ne peut faire vivre un pays dans la splendeur, que c'est une utopie. (12F2)"

350,00 € TTC

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DF00003099
1 Livre
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